Philippe Coudray
Aquarelles mars 2006 (cliquer pour agrandir) :

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45- Aquarelle 19 x 24 cm

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46- Aquarelle 19 x 24 cm
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47- Aquarelle 19 x 24 cm
Philippe Coudray
 
48- Aquarelle 19 x 24 cm
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49- Aquarelle 19 x 24 cm
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50- Aquarelle 19 x 24 cm
 
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51- Aquarelle 19 x 24 cm
à vendre 100 euros
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52- Aquarelle 19 x 24 cm
à vendre 100 euros
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53- Aquarelle 19 x 24 cm
à vendre 100 euros
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54- Aquarelle 19 x 24 cm
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55- Aquarelle 19 x 24 cm
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56- Aquarelle 19 x 24 cm

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On trouve ici quelques paysages d'Afrique. Des souvenirs de Tunisie peuvent s'y mêler, puisque j'y ai passé quatre ans de ma vie, entre l'âge de dix et quatorze ans.
Même si je ne connais de l’Afrique noire que le peu que j’ai vu lors d’un voyage de quinze jours au Sénégal, j’ai une tendance à peindre des paysages d’Afrique. L’Afrique attire comme terre d’origine. C’est du mystère de ses forêts que son sortis les premiers singes bipèdes, les australopithèques et autres créatures que nous ne connaîtrons sans doute jamais. Les profondeurs des forêts africaines sont créatrices. Leur taille, leur étendue, leur âge, accumulent un savoir lentement déposé, feuille par feuille. De cette douce accumulation, nourrie par les pluies, est sorti l’homme. D’abord forestier, perdu dans cette cathédrale sans bord, il a vécu caché, à l’abri de la lumière. Poussé par la curiosité, il a conquis le monde et semble avoir oublié aujourd’hui que, sans la forêt, il ne serait rien.