Philippe Coudray
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- page 73 : mars 1949, à Pangbochi, : un “appel”, puis le témoin indigène nommé Mingmah, vit un yéti. Il se cacha dans une hutte en pierres, et vit de très près le yéti par une fente qui se rapprocha de lui en continuant de crier : taille d’un adolescent trapu, ressemblant beaucoup à un homme, poils très court d’un brun rougeâtre assez raides, sur le haut du corps le poil se dressait et il retombait plus bas. La poitrine était légèrement plus claire que le reste du corps, les pieds particulièrement velus. Les mains ressemblaient à celles d’un homme. La tête était très pointue, les cheveux pendaient de chaque coté comme une chevelure humaine, mais une bande de cheveux très courts et très raides montaient du front jusqu’au sommet du crâne comme une crête de coq. Le visage était imberbe, plus plat que celui d’un homme et moins que celui d’un langour. Se sentant observé, il montra les dents et gronda. La taille des dents frappa le témoin. Il marchait debout, à grandes enjambées, légèrement penché en avant, avec les bras pendant. En octobre 1952, un nommé Anseering du village de Thammu vit un yéti abrité sous une roche  à la limite supérieure des arbres. Il prit la fuite en escaladant les rochers à quatre pattes. Il était brun foncé, trapu et plus petit qu’un homme. En hiver 1952, à Phorchi (nord-oust de Tiangbochi), cinq villageois découvrent les traces d’un yéti (orteils bien visibles) de la taille d’un pied d’enfant. Ils suivirent la piste et virent d’après les traces de mains et de pieds qu’il s’était assis sur un rocher, puis qu’il avait escaladé des rochers à quatre pattes. Le reste du temps il marchait debout. Ils trouvèrent des poils d’un rouge-brun de quelques centimètres très raides et très durs.
- page 157 : témoignage près de Namche Bazar : un yéti d’environ 1m75 couvert de longs poils brunâtres, avec une grosse touffe tombant du front jusqu’au yeux. Son oncle déclare que le yéti femelle a de gros seins pendants comme ceux d’une femme.
18 : 1957 : expédition de Tom Slick, milliardaire américain, passionné par la science et les mystères du monde animal, installant sa base dans la vallée d’Arun, au nord-est du Népal, pas très loin de la frontière avec la province indienne du Sikkim : trois piste d’empreintes bipèdes de 30 cm de long, et quinze témoignages rapportant que le yéti ressemblait à un gorille à tête pointue de 2m40 de haut marchant essentiellement sur deux pattes.

19 - 1958 : deuxième expédition financée par Tom Slick dans la même vallée d’Arun : peu d’empreintes, un yéti de petite taille aperçu la nuit par un sherpa, une caverne servant de lieu de repaire à un yéti fut découverte dans la haute vallée de Dudh Kosi. Dans le nid fait de branches de genévriers on trouva des excréments contenant des restes écrasés d’os et de poils de lièvre. Des restes de rongeurs jonchaient la caverne.

20 - 1959 : troisième expédition de Tom Slick, beaucoup plus légère (deux hommes), même région : ils rapportèrent des excréments contenant des restes de rongeurs, d’insecte et de végétaux, et grâce à Bernard heuvelmans qui les étudia, un parasite inconnu indiquant qu’il s’agissait des excréments d’une espèce inconnu, chaque espèce de mammifère ayant ses propres parasites. Le pouce et une phalange de l’index d’une main de yéti momifiée du monastère de Pangbotchi furent dérobés et remplacés par des os humains pour être rapportés  à Londres où l’étude conclua que ces os pouvaient provenir d’une espèce inconnue d’Anthropoïde géant, apparemment plus grand que le gorille des montagnes.

1960 : expédition organisée par Hillary, vainqueur de l’Everest, payée très cher par l’éditeur américain “World Book Encyclopedia”, qui mit la pression pour des résultats à la hauteur de la somme investie, ce qui, en manque de résultats rapides, fit conclure légèrement à l’inexistence du yéti.

21 - 1970 : l’alpiniste Don Whillans, qui vainquit l’Anapurna en 1970, photographia une piste de yéti, dont les empreintes mesuraient 45 cm de long, à 4200 m d’altitude près du pic Mahalangur Himal au Népal, et vit dans ses jumelles au clair de lune un être simiesque progresser par bonds à quatre pattes le long d’une crête.

22 - 1972 : une expédition étudiant la faune de la vallée d’Arun (Sikkim), découvrit à 3600 m d’altitude, sur les flancs du mont Kongmaa Laa, des traces  bipèdes de 21 cm sur 12, ressemblant à celles photographiée par Eric Shipton en 1951. Le Dr Georges Shaller, un spécialiste des anthropoïdes, leur trouva une ressemblance avec celles du gorille des montagnes.

23 - 1974 : au pied de l’Everest, des alpinistes polonais trouvent des traces de 35 cm de long sur plus d’un kilomètre et demi.

24 - 1975 : expédition organisée par des scientifiques d’un institut américain, dans la vallée d’Arun (Sikkim) : nombreuses empreintes sur les crêtes de Kongmaa-la, vers 4000 m d’altitude, présence nocturne du yéti près du campement.

25 - 1977 : deux alpinistes par 5100 m d’altitude et -18°C, campèrent sur le Chamgabang (sommet de 6864 m, dans le garwhal (ou garhwal) Himalaya, dans le Nanda devi group (groupe de glaciers), en Inde, près des sources du Gange, juste à l’ouest du Népal), et virent la totalité de leu stock de chocolat volé la nuit par une créature qui laissa des empreintes de 30 cm.

26 - 1986 : le 6 mars, un alpiniste, Anthony B. Wooldridge, a peut-être photographié un yéti dans la partie indienne de l’Himalaya près de la frontière ouest du Népal, région de la petite ville de Joshimath à une cinquantaine de kilomètres du pic Nilkantha (6596 m). Après avoir suivi de longues suites d’empreinte de 25 cm de long à 3300 m d’altitude, il a photographié une silhouette noire,qui n’est peut-être qu’un rocher.

1987 : l’alpiniste Reinhold Messner qui escalada les 14 pics de 8000 m, affirma
s’être retrouvé un jour nez à nez avec un yéti : debout, plus gros que lui, puissant et velu, de longs poils bruns-noirs lui tombant sur les yeux, correspondant aux descriptions des Sherpas et tibétains. C’est le même homme qui écrira plus tard un livre affirmant que le yéti est un ours qui marche et court sur deux jambes (“Yeti, du mythe à la réalité”, Glénat, juin 2000).

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